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C’est l’histoire inspirante d’un p’tit gars de la campagne qui ne voulait pas « faire comme tout le monde ». Ayant quelques difficultés au niveau scolaire et un grand manque de confiance, on lui avait dit qu’il aura de la difficulté à réussir dans la vie. Et bien, il a décidé de faire son propre chemin et d’apprendre par lui-même. Il s’est développé une passion pour le développement personnel et il en ait devenu un expert ! Depuis, il a décidé d’en faire son entreprise et il a changé la vie de milliers de personnes grâce à ses connaissances.
Plus jeune, Charles avait très peu confiance en lui.
Ses parents voulaient l’envoyer dans une école secondaire privée. Il a étudié tout l’été pour passer l’examen de l’école privée et il ne l’a finalement pas réussi. À l’école publique, il échoue ensuite son secondaire 1. Pour lui, l’équation est simple : non seulement il n’était pas meilleur que la moyenne, il était moins bon que tout le monde.
Très jeune, il comprend que, dans notre société, la confiance en soi est primordiale. Ceux qui en manquent se font inévitablement écraser par les autres. Sans la confiance en soi, les connaissances, le savoir et l’intelligence ne servent malheureusement pas à grand chose. Dès l’âge de 15 ans, Charles commence donc à s’intéresser à la croissance personnelle.
À partir de cet âge, il se met à étudier tous les volets du développement personnel : le côté spirituel, l’argent, la gestion du temps, la confiance, la communication, etc. Tout y passe et son identité se forge tranquillement au fil de ses lectures et de ses apprentissages.
Grâce à cet intérêt, il développe des racines. À 15 ans, ce n’est pas encore visible, mais plus tard, ça lui permettra d’être plus solide dans son parcours de vie.
Dès l’âge de 12 ans, Charles travaille sur une ferme près de chez lui.
Les nombreuses heures passées sur la ferme lui ont permis de cultiver de nombreuses habiletés importantes dans la vie. C’est une expérience réellement formatrice qui lui apprend à se débrouiller seul, à ne pas se fier aux autres et à sortir de sa zone de confort. Il se voit confier des tâches d’adulte et pour lui, c’est valorisant.
Évidemment, il savait qu’il ne voulait pas travailler à la ferme toute sa vie. Toutefois, autour de lui, les gens disaient « Charles, au moins, c’est un travaillant, il va se débrouiller ». Un peu comme si son entourage pensait qu’il ne pourrait pas faire plus que ça dans la vie, puisqu’il avait de la difficulté à l’école.
Si ces remarques sont difficiles à entendre, il ne se laisse pas pour autant décourager. Ses racines en croissance personnelle lui permettent de garder confiance en lui malgré tout.
À 17 ans, il fait le saut dans le monde entrepreneurial en achetant une entreprise de machines distributrices. Son grand-père lui prête de l’argent en lui disant de faire attention et de ne pas se faire avoir. Il se fait avoir.
Cette première expérience n’est pas du tout à la hauteur des ambitions de Charles qui réalise à peine 10 % de ce qu’il pensait faire avec la compagnie. Ne se laissant pas démoraliser, il se retrousse les manches et décide de travailler plus fort. Le désir de réussir prend le dessus sur le reste.
Charles démontre déjà que les situations d’apparences négatives peuvent être utiles. Après tout, être mauvais à l’école l’a poussé à s’intéresser à la croissance personnelle et lui a permis de mettre son énergie dans son travail à la ferme. Travailler à la ferme lui a appris à être travaillant. Être travaillant lui a permis de se retrousser les manches pour faire marcher son entreprise de machines distributrices. Son expérience avec cette première entreprise lui a permis de développer des aptitudes en communications et en vente.
Grâce à ce cheminement, il réussit à se faire embaucher au poste de vendeur de voitures à seulement 18 ans. Persévérant dans cette voie et mettant à profit ses connaissances en croissance personnelle, il se taille rapidement une place parmi les meilleurs vendeurs.
Sa confiance en lui se développe.
Charles sait qu’il n’est pas fait pour être un employé. Être vendeur de voitures, c’est temporaire ! Il continue à avoir des projets d’entreprises et fait du marketing de réseaux (MLM).
Commençant à manquer de temps pour développer ses projets, il décide de laisser son emploi. Il retourne travailler quelques heures sur la ferme pour avoir un petit revenu en attendant que ses projets décollent.
Lâcher son emploi pour se consacrer à son entreprise, c’est une source d’angoisse pour plusieurs. Ce serait rassurant de lire une belle histoire de succès. Malheureusement, ce n’est pas le cas ! Pour avoir du succès, il faut être prêt à encaisser les échecs.
Un an plus tard… rien ne fonctionnait !
Il vend sa compagnie de machines distributrices et met de côté ses projets entrepreneuriaux (et son ego) pour retourner travailler comme vendeur de voitures. Il doit renflouer ses coffres s’il veut réaliser ses rêves. Parce que, non, ses échecs ne suffisent pas à le décourager.
Son état d’esprit à ce moment ? Performer pour payer ses dettes rapidement et retourner à ses projets. En 6 mois, il obtient le poste de directeur des ventes. Il n’a que 20 ans.
Tout semble se placer et il décide d’acheter sa première maison à 22 ans. Au même moment, il y a un changement d’administration à son emploi et la nouvelle administration décide de mettre 3 directeurs des ventes en poste et de les regarder compétitionner pour la meilleure place. Charles refuse de rabaisser ses coéquipiers et décide de ne pas embarquer dans le jeu.
Le jour où il signe son hypothèque à la banque, il se fait annoncer qu’il perd son emploi de directeur des ventes.
Il devient alors consultant en vente et se promène un peu partout au Québec. Sur la route, il a l’occasion d’écouter des podcasts et de travailler sur son projet : Drôlement Inspirant.
Derrière ses échecs et ses succès, il y avait un fort désir de réussir.
C’est en mettant en action ses apprentissages en croissance personnelle et ses expériences de vie que Charles a pu continuer à avancer malgré les échecs. Il a décidé de garder le cap et d’utiliser les obstacles à son avantage pour devenir qui il est aujourd’hui. Ce n’est toutefois pas une ligne d’arrivée.
Drôlement Inspirant grandissait tranquillement et fonctionnait déjà bien quand la pandémie est arrivée. Pour Charles, ça l’a été l’occasion de mettre le pied sur le gaz pour faire connaître une croissance exponentielle à ce projet.
En 2020, déjà 4 millions de personnes l’ont vu sur Facebook. Par la suite, son histoire parait dans des articles de journaux, il gagne en notoriété et donne des conférences dans plusieurs milieux, dont des écoles, afin d’inspirer les jeunes.
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